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Stabat Mater de Giovanni Battista Pergolesi

Œuvre complète accompagnée à l’orgue

Stabat Mater de Giovanni Battista Pergolesi

Œuvre sacrée créée en 1736. La richesse musicale de cette œuvre à deux voix de femmes nous amène au plaisir de la musique baroque religieuse où les couleurs de l’alto et de la soprano se mêlent à la puissance de l’orgue.


Ce Stabat Mater est basé sur un texte liturgique du XIIIè siècle méditant sur la souffrance de la Vierge Marie, mère du Christ. En limitant les solistes à des voix féminines, Pergolèse laisse à celles-ci le soin d'exprimer la douleur maternelle.



Distribution

Revue de presse



L’Est Éclair, Les Riceys

6 mai 2017


Une jolie parenthèse lyrique


Nadine Deretz, soprano, et Sophie Pion, mezzo-soprano, ont remarquablement interprété la douleur maternelle, dimanche après-midi, devant un parterre restreint mais averti. Leurs voix ont résonné avec force sous les voûtes de l'église de Ricey-bas au long du Stabat mater de Giovanni Battista Pergolesi.


Du XVIII siècle, cette œuvre sacrée était présentée, pour la première fois, par la compagnie 4 dimension dirigée par Marie-France Lahore. Miora Ranaivoarinosy, récitante, a rapporté les textes d'Oscar Escalada avec justesse et ponctué les chants. Quant à l'accompagnement musical très pur, il était assuré par Léonid Karev au piano et a fait ressortir l'intensité et l'émotion de cette œuvre baroque qui ne s'adressait pas uniquement à des initiés.


Grâce à la compagnie 4 dimension, les Barséquanais ont pu profiter d'un récital d'une grande qualité. Ils auront tout particulièrement applaudi l'une des leurs, Sophie Pion, talentueuse artiste.



L’Est Éclair, Rumilly-lès-Vaudes

Mardi 23 octobre 2018


Affluence record pour un concert liturgique


La Compagnie 4e Dimension est venue conclure le festival musical de Rumilly-lès-Vaudes, à l'église Saint-Martin, devant 110 personnes.


Une compagnie de musiciens professionnels s'est produite en l'église Saint-Martin de Rumilly-lès-Vaudes, dimanche 14 octobre. L'association des Amis de l'orgue de l'église Saint-Martin a accueilli la compagnie 4e Dimension, à l'occasion d'un concert exceptionnel.


Plus de 110 personnes avaient fait le déplacement pour assister à cette représentation du Stabat Mater, une séquence liturgique du XIII siècle. Des auditeurs qui, habitués à entendre des amateurs s'exprimer en musique, ont été ébahis par le professionnalisme des musiciens et solistes.


La troupe est composée de musiciens professionnels parisiens, japonais, malgache, russe et même barséquanais.

Les artistes ont été présentés au public par Guy-Pierre Daunay et le nouveau curé affectataire, l’abbé Jouffrieau, qui a profité de l'occasion pour se présenter à sa paroisse. La troupe, composée de musiciens professionnels parisiens, japonais, malgache, russe et même barséquanais, effectuait ici sa seconde représentation. La compagnie 4e Dimension avait déjà proposé l'œuvre aux Riceys. Elle se produira ensuite en Champagne, en Normandie et à Paris.


Les musiciens, placés sous la direction de Marie-France Lahore, étaient au nombre de six : Nadine Deretz, la soprano, Miora Ranaivoarinosy, la récitante, Leonid Karev, l’organiste, Kayoko Yokote, la violoncelliste, Anne-Amandine Corgiat, la violoniste, et Sophie Pion, la mezzo-soprano originaire de Gyé-sur-Seine.


C'est par l'intermédiaire de cette dernière, qui s'y était déjà produite avec l'harmonie municipale de Bar-sur-seine, que le groupe a découvert l'édifice rumillon. L'association et la troupe se sont rapidement entendues pour proposer ce spectacle, qui constitue la dernière date du festival musical de Rumilly-les-Vaudes.


LE STABAT MATER


Le Stabat Mater est un texte liturgique du XIIIe siècle méditant sur la souffrance de la Vierge Marie lors de la crucifixion de son fils Jésus. De nombreuses compositions musicales ont été basées sur ce texte au fil des siècles. La version interprétée à RumilIy-lès-Vaudes est une œuvre de Giovanni Battista Pergolesi, compositeur italien du XVIII siècle.


Cette séquence est composée de deux textes, Dolorosa et Speciosa. Au cours du concert, seul le premier a été interprété dans son intégralité.


J.G.

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