Vous avez dit... Mozart ?
Les Noces de Figaro, Cosi fan tutte, Don Giovanni
M'aimez-vous, m'aimez-vous vraiment ? Ne cessa toute sa vie de répéter Mozart. Est-ce la raison pour laquelle les interprètes de ses opéras sont guidés par les divers états d’âme du sentiment humain et également par leurs conditions sociales ? Ces trois œuvres choisies en dépeignent la fidélité (Les Noces de Figaro), la tromperie (Cosi Fan Tutte) et la vengeance (Don Giovanni).
Les Noces de Figaro furent créées en 1786, le livret de Da Ponte suit de près la comédie de Beaumarchais. Cosi fan tutte, opéra bouffe fut créé en 1790. La légende de Don Juan, opéra créé en 1787, va servir au librettiste Da Ponte et fournir à Mozart l’opportunité d’écrire un chef d’œuvre des plus mystérieux qui pose encore bien des interrogations.
Distribution
Revue de presse
L'Est éclair, Concert aux Riceys, samedi
Mardi 8 mars 2016
Les Voix lyriques à l'église
Pour la troisième fois, les superbes Voix lyriques de la compagnie de Marie-France Lahore vont résonner sous les voûtes de l’église Saint-Pierre-ès-Liens.
Le concert est programmé samedi 12 mars à 20h30. Accompagnés par Léonid Karev au piano, les artistes Sylvie Plas, Eva Roudoukhina, Dilara Zümre, Sophie Pion, Baptiste Essevaz-Roulet et Nicolas Beillet Le Béhérec feront découvrir l'opéra « Mozartien ».
Participation libre.
L'Est éclair, Bar-sur-Seine et environs
17 mars 2016
La beauté de l’opéra avec les Voix lyriques
Un moment de grâce s’est installé samedi dernier au sein de l’église de Ricey-Bas. Devant une quarantaine d’auditeurs respectueux des consignes données, les Voix lyriques ont livré un récital tout en puissance et finesse à travers des extraits des Noces de figaro, de Cosi fan tutte et de Don Giovanni.
Virtuosité
L’opéra mozartien, dans toute sa splendeur, a incontestablement charmé les oreilles du public. Accompagnés par Leonid Karev au piano et servis par la mise en espace de Marie-France Lahore, Sophie Pion, Sylvie Plas, Nicolas Beillet Le Béhérec, Baptiste Essevaz-Roulet, Eva Roudoukhina et Dilara Zümre sont allés de rôle en rôle avec la même virtuosité.
Ici le perfectionnement vocal est au service d’une œuvre qui cherche à susciter l’émotion. L’acoustique de l’édifice riceton, qui avait déjà accueilli troupe en mai dernier, y a sans nul doute contribué.
C.B.